Actualité Échelle Inconnue

Hier à Rouen, la révolution // 23 février 2012 // Conférence de Y.Marrec: "La Révolution rouennaise de 1848 et sa portée dans l'univers social". // 19h

« En avril 1848, deux mois avant Paris, Rouen se couvre de barricades. La répression qui s'ensuit préfigure celles des journées de juin dans la capitale. Cette confrontation sanglante traduit l'acuité des oppositions sociales dans la métropole normande qui en gardera longtemps le souvenir douloureux. En même temps différentes stratégies de contrôle et de rapprochement entre les classes sociales sont mises en oeuvre avec des succès variables.»

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Atelier Bureau des Peurs et des Angoisses // Tous les samedis

Tous les samedi après midi à Echelle Inconnue : Bureau des peurs et des angoisses, ou relire la ville comme un train fantôme.

L'utopie du faiseur de ville ressemble le plus souvent à un centre commercial, espace aseptisé, dans lequel l'ensemble de l'environnement est contrôlé, jusqu'à sa bande son. Voilà l'idéal, un environnement capable d'influer, guider le comportement dans la béatitude de la consommation (d'espaces comme de produits). Mais voilà, ces espaces mêmes finissent par ressembler ou être ressentis comme le paysage de la série télévisée « le prisonnier ». Dans ce cadre l'angoisse même peut se lire comme une ultime résistance à l'environnement, les lieux angoissants comme les pendants nécessaires au mirage de l’aménagement urbain.

Absente des représentations officielles de la ville, l'angoisse y occupe pourtant une place de choix. Qu'elle ait pu y être recherchée dans une optique de contrôle, ou qu'elle se manifeste aléatoirement, ici ou là, c'est ce rapport que nous entretenons entre elle et la ville que nous décidons aujourd'hui d'interroger.

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Jeudi 9 février 2012 / 14h / à l'Université de Rouen Séminaire IRIHS / intervention de Stany Cambot sur le thème « Ville et mobilité »

Jeudi 9 février 2012 / 14h à l'Université de Rouen Séminaire IRIHS / intervention de Stany Cambot sur le thème « Ville et mobilité » :

Organisé par l'Institut de Recherche IRIHS dans le cadre du projet « Cultures Populaires et patrimoine de l’éphémère »/ Stany Cambot interviendra sur le thème « Ville et mobilité » en regard d'une recherche sur la foire Saint-Romain intitulée « Cultures Populaires et patrimoine de l'éphémère ».

Les objectifs de cette recherche portée par l'IRIHS (institut de recherche regroupant les laboratoires CETAPS / AILLEURS et IMEC) sont : de prendre comme premier objet d’études commun La Foire Saint Romain, en tant qu’événement représentatif d’une culture populaire. d’appréhender l’événement dans sa multiplicité et sa complexité. de privilégier une approche qualitative : entretiens semi-directifs, récits de vie (auprès de forains, clients, élus locaux...), entretiens collectifs d’enfants et dessins.

Lieu : CETAPS (Université de Rouen à Mont Saint Aignan) / salle 07 / RDC Bâtiment n°36 sur la carte : http://www.univ-rouen.fr/ (plan de l'université au format pdf)

Réservation indispensable avant le 07 février 2012 : au 02 35 70 40 05 / 06 28 91 68 68 (demandez Christophe HUBERT) ou par mail à christophe@echelleinconnue.net

« Écouter chuchoter les murs » intervention de Pierre Commenge dans le cadre du 9e colloque de Sorèze intitulé : Paysage sonore, échographie du monde...

vendredi 10 février / 10h à l'Abbaye École de Sorèze (Tarn)

9e Colloque de Sorèze, Organisé par l'Ecole Supérieure d'Audiovisuel ( ESAV), le Laboratoire de Recherche en Audiovisuel (LARA), Savoirs, Praxis et Poïétiques en Arts plastiques et appliqués (SEPPIA), l'Université de Toulouse II le Mirail. Les 8, 9, 10 février 2012 à l’Abbaye École de Sorèze (Tarn)

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Atelier Bureau des Peurs et des Angoisses // Tous les samedis

Tous les samedi après midi à Echelle Inconnue : Bureau des peurs et des angoisses, ou relire la ville comme un train fantôme.

L'utopie du faiseur de ville ressemble le plus souvent à un centre commercial, espace aseptisé, dans lequel l'ensemble de l'environnement est contrôlé, jusqu'à sa bande son. Voilà l'idéal, un environnement capable d'influer, guider le comportement dans la béatitude de la consommation (d'espaces comme de produits). Mais voilà, ces espaces mêmes finissent par ressembler ou être ressentis comme le paysage de la série télévisée « le prisonnier ». Dans ce cadre l'angoisse même peut se lire comme une ultime résistance à l'environnement, les lieux angoissants comme les pendants nécessaires au mirage de l’aménagement urbain.

Absente des représentations officielles de la ville, l'angoisse y occupe pourtant une place de choix. Qu'elle ait pu y être recherchée dans une optique de contrôle, ou qu'elle se manifeste aléatoirement, ici ou là, c'est ce rapport que nous entretenons entre elle et la ville que nous décidons aujourd'hui d'interroger.

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