♦ 31/08/2020 : Portes ouvertes du Hackerspace
Soirée numérique
Journée de réflexion sur le théâtre du réel au regard des droits culturels
Le labyrinthe est un motif apparu dès la préhistoire dans de très nombreuses civilisations. Bien que représenté sous des formes diverses, son tracé sinueux, muni d’embranchements, d’impasses et de fausses pistes, est destiné à perdre ou à ralentir celui qui cherche à s’y déplacer.
Une réflexion sur les repères spatiaux, existant d’un point de vue architectural, ou bien créé de toute pièce dans les univers de fiction. A qui est réservée cette perdition ? Que nous arrive-t-il, jetés dans la gueule du Minotaure ?
Le festival Set Up est organisé par Pix3l
Table ronde avec Benjamin Diebling, Stany Cambot et Alt 236
Dimanche 12 janvier de 14h à 15h30
Lieu : 106 allée François Mitterand, 76100 Rouen
LA CULTURE ET L'ESS
Echelle Inconnue participe à l'échange sur l'économie sociale et solidaire
Vendredi 6 décembre à 11h à l'Hôtel de Ville de Rouen
organisée par la CRESS - Chambre Régionale de l'Economie Sociale et Solidaire.
Dans le cadre du mois de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS), la Ville de Rouen et ses partenaires organisent les journées de l'ESS, des journées de rencontres et d’échanges, qui se tiendront du 30 novembre au 6 décembre 2019.
Cette année encore, la thématique de la transition solidaire et écologique reste au centre des rencontres, débats, conférences et tables rondes organisées pendant ces journées.
Ouvertes à toutes et à tous, l'accès à ces journées est gratuit. Une inscription est cependant obligatoire (Places limitées).
Au sommaire du journal :
-Tuto-photo : Une éolienne en PVC !
- Dossier Makhno-Van :
- Le projet de Rodtchenko
- Sur la route du Carnival
- Cinéma Voyageur
- Écran Voyageur
- Peertube
- La Java de l'Infrastructure
En 1895 naissait le cinématographe des frères Lumière. Deux ans plus tard, il faisait son apparition dans les foires, d’abord comme attraction scientifique (notons que les fêtes foraines furent électrifiées bien avant la plupart des villes françaises) puis très vite comme « monstre » ou spectacle à part entière. C’est un scénario similaire qui se déroulera aux États-Unis dans les enceintes des carnivals.
En France, dès lors, ce seront les forains, pour la plus part Manouches, qui diffuseront films, drames et comédies. Ce sont eux encore, qui inventeront les actualités filmées, tournant dans les villes dans lesquelles ils s’installent. Le cinéma est alors résolument mobile, forain et invente ses formes, actualités mais aussi doublage des cartons de titres et de dialogues des films muets pouvant aller jusqu’au boniment comme le souligne Arnaud Lemarchand. Le spectacle parfois même s’hybride encore entre spectacle scénique et écran, mélangeant, danse, musique, etc. Propriétaires des copies des films qu’ils diffusent, les forains les usent jusqu’à la corde, les remontent même ou les raccourcissent parfois.
1912 sonne le glas de cet âge d’or. La mise en place du fichage anthropométrique des Tziganes s’accompagne opportunément d’une supposée crise du cinéma décrétée par Pathé qui installe son monopole sur le secteur. Il substitue à la vente des bobines un système de location. Impossible dès lors pour les forains de rentabiliser leur activité. Parallèlement, il construit ou incite à la construction de salles de cinéma sédentaires bâties sur le modèle du théâtre à l’italienne faisant passer le cinéma de la vie et du brouhaha de la foire à la fenêtre sur le surréel. Il a désormais la main sur l’ensemble de la chaîne allant de la production à la diffusion.
Quelques forains tenteront néanmoins de poursuivre l’activité avec des films étrangers ou du matériel, tourné par leurs soins. Peu à peu cependant, au cours des années 1920, les lampes de ces porteurs d’électricité s’éteignent. L’arrestation des Tziganes par la police française, puis leur déportation sous l’occupation, mettront définitivement fin à ce cinéma.
Mais alors qu’ici ces lumières s’éteignent, elles s’allument, plus à l’Est dans la Russie révolutionnaire. Le cinéma forain répondant tant au besoin de la guerre civile, qu’aux promesses artistiques de l’avant garde. « Le cinéma doit intervenir dans la société comme un véhicule de pompier » écrivait Maïakovki. Britchka, camions, trains et même bateaux embarquent des centres culturels et d’agitprop sur tout le territoire, tant d’ailleurs que le cinéma ambulant des années plus tard deviendra un élément naturel du paysage.
Alors que l’immédiat après-guerre entérine « l’exécution » du cinéma forain, on assiste à un retour marginal de la diffusion ambulante. Certains réalisateurs du « cinéma direct » comme Yann Le Masson projettent volontiers leurs rushs aux personnes filmées . Par exemple, il le fit au Japon devant les paysans et manifestants s’opposant à la construction de l’aéroport de Narita lors du tournage de Kashima Paradise.
Aujourd’hui, nous sommes quelques uns à opérer, par nécessité le plus souvent, un retour vers cette voie abandonnée, pour ne pas dire condamnée, du cinéma. Un cinéma mobile, direct et d’intervention hors des circuits de diffusion traditionnels, de leur économie, de leurs lieux consacrés et de leur éternel même public, anonyme et consommateur.
Ce numéro, pour dessiner des histoires possibles, un futur peut-être.
Mais sans doute lui manque-t-il quelques pages. L’enterrement du cinéma de foire est-il si évident ? Il semble que dès les années 1970 et 1980, les industriels forains soient revenus à leur premier geste : la démonstration technique et scientifique. La foire est devenue alors incubateur du cinéma à 180 puis 360 degrés et ce, avant la Géode du parc de la Villette, ou encore aujourd’hui du cinéma 5, 6 et même 8D, bien avant qu’il ne fasse son apparition dans les multiplexes. Mais œil et pensée ont tellement intégré le schéma réalisation/production/diffusion de Pathé soutenu par le CNC et les GAFA, que l’on peine à y voir encore un pur geste de cinéma.
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"ИÐТЕРВЕÐЦИОÐÐЫЙ МОБИЛЬÐЫЙ КИÐЕМÐТОГРÐФ": 8-Й ÐОМЕРВРЕМЕÐÐОГО ЖУРÐÐЛРВЫХОДИТ Ð’ СВЕТ
Интервенционный мобильный кинематограф
Содержание номера
ДоÑье: Махно-Ð’Ñн
Фото-ПоÑобие: ВетрÑк
Проект Родченко
По пути Ñрмарки
Передвижной кинематограф
Кочевой Ñкран
Peertube
Танцы вокруг инфраÑтруктуры
Кино. Ярмарка за Ñрмаркой.
Ð’ 1895 году рождаетÑÑ ÐºÐ¸Ð½ÐµÐ¼Ð°Ñ‚Ð¾Ð³Ñ€Ð°Ñ„ братьев Люмьер. Два года ÑпуÑÑ‚Ñ Ð¾Ð½ поÑвлÑетÑÑ Ð½Ð° Ñрмарках: Ñперва как научный аттракцион (отметим, что Ñрмарки были Ñлектрифицированы гораздо раньше, чем большинÑтво французÑких городов), затем как аттракцион-«монÑтр» или целый отдельный Ñпектакль. Похожий Ñценарий произошел и в Ð¡Ð¨Ð Ñ Ð¿Ñ€ÐµÐ´ÑˆÐµÑтвенником Ñовременных Ñрмарок (об Ñтом можно прочитать в Ñтатье Хавьера Жёдона на Ñтранице ).
Во Франции не кто иной, как Ñрмарочные артиÑÑ‚Ñ‹ - в большинÑтве Ñвоём, цыгане - занимаютÑÑ Ñ€Ð°ÑпроÑтранением трагичеÑких и комедийных фильмов. И именно они изобретают кинохроники, ÑÐ½Ð¸Ð¼Ð°Ñ Ð³Ð¾Ñ€Ð¾Ð´Ð°, в которых они оÑтанавливаютÑÑ. Кинематограф Ñтой поры абÑолютно мобилен. Он обитает на Ñрмарочных гулÑниÑÑ… и ищет Ñвои формы: кинохроника, дублÑж табличек Ñ Ñ‚ÐµÐºÑтом и диалогов немого кинематографа, который доходит до Ñтадии ÐºÐ¾Ð¼Ð¼ÐµÐ½Ñ‚Ð¸Ñ€Ð¾Ð²Ð°Ð½Ð¸Ñ Ñ„Ð¸Ð»ÑŒÐ¼Ð¾Ð², как отмечает Ðрно Лемаршан. Порой кинопредÑтавление даже вÑтраиваетÑÑ Ð² живой Ñпектакль, в котором ÑмешиваютÑÑ Ñ‚Ð°Ð½ÐµÑ†, музыка и другие дейÑтва. ÐртиÑÑ‚Ñ‹ Ñрмарок ÑтановÑÑ‚ÑÑ Ð²Ð»Ð°Ð´ÐµÐ»ÑŒÑ†Ð°Ð¼Ð¸ копий фильмов и иÑпользуют их на пределе возможноÑтей. Им приходитÑÑ Ð¿ÐµÑ€ÐµÐ¼Ð¾Ð½Ñ‚Ð¸Ñ€Ð¾Ð²Ð°Ñ‚ÑŒ и иногда даже укорачивать фильмы.
1912 положил конец Ñтому «золотому веку» Ñрмарочного кинематографа. ÐнтропометричеÑÐºÐ°Ñ Ð¿ÐµÑ€ÐµÐ¿Ð¸ÑÑŒ цыган ÑопровождаетÑÑ Ð¿Ñ€ÐµÐ´Ð¿Ð¾Ð»Ð°Ð³Ð°ÐµÐ¼Ñ‹Ð¼ кризиÑом кинематографа, провозглашаемым компанией Pathé, ÐºÐ¾Ñ‚Ð¾Ñ€Ð°Ñ Ð´Ð¾Ð±Ð¸Ð²Ð°ÐµÑ‚ÑÑ Ð¼Ð¾Ð½Ð¾Ð¿Ð¾Ð»Ð¸Ð¸ в Ñтом Ñекторе. Pathé переÑтаёт продавать киноленты, вмеÑто Ñтого приходитÑÑ Ð¸Ñ… брать в аренду. ПоÑле Ñтого деÑтельноÑÑ‚ÑŒ Ñрмарочных артиÑтов переÑтаёт быть рентабельной. Одновременно Ñ Ñтим Pathé Ñтроит и поощрÑет ÑтроительÑтво капитальных кинотеатров, Ñоздаваемых по образу и подобию итальÑнÑкого театра, что выводит кинематограф из шумной жизни балагана и уменьшает его до Ð½Ð°Ð±Ð»ÑŽÐ´ÐµÐ½Ð¸Ñ Ð·Ð° чем-то ирреальным. Отныне киноÑÑ‚ÑƒÐ´Ð¸Ñ ÐºÐ¾Ð½Ñ‚Ñ€Ð¾Ð»Ð¸Ñ€ÑƒÐµÑ‚ вÑÑŽ цепь: от производÑтва до раÑпроÑтранениÑ.
Тем не менее, неÑколько Ñрмарочных артиÑтов пробуют продолжать Ñвое дело, Ð¿Ð¾ÐºÐ°Ð·Ñ‹Ð²Ð°Ñ Ð¸Ð½Ð¾Ñтранные фильмы или же ÑÐ½Ð¸Ð¼Ð°Ñ Ñвой ÑобÑтвенный материал. Однако мало-помалу на протÑжении 20Ñ… годов лампы Ñтих ноÑителей ÑлектричеÑтва гаÑнут. ÐреÑÑ‚Ñ‹ цыган, проводимые французÑкой полицией, затем их Ð´ÐµÐ¿Ð¾Ñ€Ñ‚Ð°Ñ†Ð¸Ñ Ð² годы оккупации, положили окончательный конец Ñтому кинематографу.
Ðо в то Ð²Ñ€ÐµÐ¼Ñ ÐºÐ°Ðº здеÑÑŒ, на Западе, Ñти огни гаÑнут, на ВоÑтоке, в революционной РоÑÑии, они, наоборот, загораютÑÑ. Передвижной кинематограф может не только удовлетворить запроÑÑ‹ гражданÑкой войны, но и поддержать артиÑтичеÑкие порывы авангарда. По Ñловам МаÑковÑкого кинематограф должен играть в жизни общеÑтва ту же роль, что и Ð¿Ð¾Ð¶Ð°Ñ€Ð½Ð°Ñ Ð¼Ð°ÑˆÐ¸Ð½Ð°. Брички, грузовики, поезда и даже пароходы перевозÑÑ‚ центры культуры и агитпропа по вÑей территории Ñтраны (читайте Ñтатью Людмилы ПиÑкаревой на Ñтранице ). Таким образом, через неÑколько лет передвижной кинематограф ÑтановитÑÑ ÐµÑтеÑтвенным Ñлементом пейзажа.
ÐеÑÐ¼Ð¾Ñ‚Ñ€Ñ Ð½Ð° то, что поÑлевоенный период продолжает «казнить» передвижной кинематограф, можно заметить маргинальное возвращение передвижного раÑпроÑÑ‚Ñ€Ð°Ð½ÐµÐ½Ð¸Ñ ÐºÐ¸Ð½Ð¾. Ðекоторые режиÑÑёры «прÑмого кинематографа», такие как Ян Ле МаÑÑон, показывают Ñвои наработки людÑм, которых Ñнимали. Он делает Ñто, например, в Японии во Ð²Ñ€ÐµÐ¼Ñ Ñъемок фильма Kashima Paradise: показывает креÑÑ‚ÑŒÑнам и учаÑтникам акций протеÑтов против ÑтроительÑтва аÑропорта Ðарита кадры Ñ Ð½Ð¸Ð¼Ð¸ же.
Ð¡ÐµÐ³Ð¾Ð´Ð½Ñ Ð¼Ñ‹, вÑледÑтвие определенной необходимоÑти, вынуждены возвращатьÑÑ Ðº Ñтой забытой, еÑли не Ñказать порицаемой, кинематографичеÑкой методике: Передвижной кинематограф, прÑмой и вÑтупающий в коммуникацию, ÑущеÑтвующий вне традиционных каналов раÑпроÑÑ‚Ñ€Ð°Ð½ÐµÐ½Ð¸Ñ ÐºÐ¸Ð½Ð¾, вне Ñтой Ñкономики, вне меÑÑ‚, поÑвÑщённых кино, и даже вне вечной Ñтой публики, анонимной и потребительÑкой.
Ðтот номер Ñоздан Ð´Ð»Ñ Ñ‚Ð¾Ð³Ð¾, чтобы обриÑовать возможноÑти. Может быть, будущее?
Ðо без ÑÐ¾Ð¼Ð½ÐµÐ½Ð¸Ñ Ð·Ð´ÐµÑÑŒ не хватает неÑкольких Ñтраниц. Так ли очевидно погребение Ñрмарочного кинематографа? Похоже, что уже в 70-е и 80-е года ХХ века работники Ñрмарок возвращаютÑÑ Ðº Ñвоим первым шагам: демонÑтрации техничеÑких и научных диковинок. Ярмарка Ñтала (ещё до Жеода в парке Ð»Ñ Ð’Ð¸Ð»ÐµÑ‚Ñ‚) инкубатором Ð´Ð»Ñ ÐºÐ¸Ð½ÐµÐ¼Ð°Ñ‚Ð¾Ð³Ñ€Ð°Ñ„Ð° на 180, а затем и 360 градуÑов, а ÑÐµÐ³Ð¾Ð´Ð½Ñ Ð¸ Ð´Ð»Ñ ÐºÐ¸Ð½ÐµÐ¼Ð°Ñ‚Ð¾Ð³Ñ€Ð°Ñ„Ð° 5, 6 и даже 8D, задолго до того, как он поÑвилÑÑ Ð² многозальных кинотеатрах. Ðо наше Ñознание и зрение наÑтолько привыкли к Ñхеме Pathé «Ñъёмка/продакшен/раÑпроÑтранение», поддерживаемой Ðациональным центром кинематографа Франции и GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon), что нам уже не удаётÑÑ ÑƒÐ²Ð¸Ð´ÐµÑ‚ÑŒ акт чиÑтого кинематографа.
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Rencontres internationales avec la Fondation Daniel et Nina Carasso et le Museo de Arte Contemporáneo de Barcelona
du 13 au 16 mars au Musée d'Art Contemporain de Barcelone
Allez ! Pratiques itinérantes et musées dispersés part du désir de créer un espace de réflexion et d’expérimentation autour des ressources pédagogiques mobiles favorisant l’éducation aux arts.
Valises, kits et boîtes pédagogiques ou bien musées, bibliothèques et cinémas ambulants, toutes les propositions sont liées à la tradition de l’art postal ou des roulottes-studio d’enregistrement.
Un ensemble d’initiatives institutionnelles ou autogérées qui cherchent à changer le territoire et à explorer de nouvelles formes de relationnalité, non seulement face au fait artistique mais aussi dans les contextes dans lesquels elles se produisent.
Tout au long de la rencontre, on s’interrogera sur les éléments qui composent ces dispositifs se déployant au-delà des murs de l’institution et qui génèrent de nouvelles formes d’institutionnalité dispersées sur le territoire et plus poreuses.
On parlera des pédagogies et des défis que ces pratiques soulèvent. Le fait que tous ces dispositifs nécessitent une « activation » dénote clairement leur vocation participative.
Le programme s’articulera autour de plusieurs propositions. D’une part, une rencontre de projets avec des tables de travail dans le but de réfléchir à quelques-uns des aspects qui façonnent ces pratiques, qu’il s’agisse de leur motivations, leur durabilité, leur autonomie ou leur évaluation ; la rencontre disposera d’un espace ouvert permanent où seront créées des dynamiques de médiation afin de partager des expériences et des projets.
Deuxièmement, des ateliers avec différents artistes et groupes autour de la construction de dispositifs mobiles, du développement de protocoles d’artiste, de la médiation itinérante, ainsi que de l’expérimentation dans le développement de projets numériques à partir de l’analogique.
Ce chapitre comprendra également un séminaire avec une conférence et deux tables rondes sur l’agencement de ces pratiques, l’éducation élargie et la possibilité d’imaginer des pratiques institutionnelles allant au-delà de la conception de l’école comme public de masse.
Finalement, une journée publique et festive avec la présence et l’activation de certains dispositifs (cinéma, ateliers…). En parallèle, une série de dispositifs seront déployés dans divers établissements scolaires et autres espaces de la ville de Barcelone afin d’approfondir, à travers la pratique, la recherche autour de ces façons de faire.
Voir le programme
Dans le cadre d'une journée organisée dans plusieurs villes par l'association Drupal France et Francophonie le 13 octobre 2018, les drupalistes rouennais vous proposent une demi-journée de présentations et des ateliers autour du Drupal, avec le programme suivant :
14h-15h : présentation de Drupal par le président de l'association "Drupal France et Francophonie"
15h-16h : installation de Drupal avec le support des membres de la communauté rouennaise
16h -18h : résolution de problèmes et discussions libres autour du logiciel : contribution à la traduction, suggestion de modules, ...
Lieu: Echelle Inconnue : 11-13 rue Saint Etienne des Tonneliers 76000 Rouen
Samedi 13 octobre à 14h
Construire et programmer un robot suiveur de lignes, tel est l’objectif de cet atelier qui mêlera électronique et développement.
Rassurez-vous, nul besoin d’être un expert, nous sommes là pour vous accompagner.
Nous vulgariserons le charabia des informaticiens et électroniciens.
La première partie consistera à monter le robot et à le tester.
La seconde verra vos robots s’affronter dans une olympiade : course, slalom, sumo.
La création du circuit électronique sur une plaque de prototypage (et non un circuit déjà imprimé) a pour objectif de vous initier à une technique que vous pourrez réutiliser chez vous.
À partir de 12 ans, groupes de 2 à 3 personnes par robot.
Un kit de construction mis au point par le Hackerspace vous sera fourni.
Par Rémi Passerieu, dit Gnieark, et Frédéric Bisson, dit Zigazou, Membres du Hackerspace de Rouen, Ventres Mous
Lundi 25 février de 19h à minuit à Echelle Inconnue
Dans le cadre du Doctorat Sauvage Numérique, Echelle Inconnue organise une initiation au logiciel libre "Blender" pour le montage vidéo. Celle-ci sera assurée par Yannick Gallepie, membre de Synaps Collectif Audiovisuel.
Discussion et rencontre en image d'un électronicien : « Qu'est-ce qu'un transistor ? »
lieu : dans les locaux d'Echelle inconnue, 18 rue sainte croix des pelletiers à Rouen
Plus d'information sur le hackerspace :
IRC : #jeannedhack@freenode
Twitter : @jeannedhack
Email : info@jeannedhack.org
Le programme du Hackerspace Jeannedhack pour le mois de Septembre
Les membres du Hackerspace se réunissent dans nos locaux au 18 rue Sainte Croix des Pelletiers / 76000 Rouen
Stany Cambot intervient au CIFAS dans le cadre de l'université d'été intitulée "Espace public, espace multiple".
Echelle Inconnue s'associe au PEROU et aux Enfants du Canal dans le cadre d'un projet de création d'un centre d'hébergement nomade pour personnes sans domicile dans Paris intra muros.
Le HackerSpace Jeanne D'Hack vous invite pour la 4ème rencontre à Echelle Inconnue.
Au programme :
Installation d'un serveur, formation à Python et bidouillages numériques...
Cette rencontre s'adresse à tous. Personnes initiés ou non-initiées aux pratiques du numérique.
Lundi 8 octobre se tenait la deuxième réunion du Hackerspace. La tribu, assise en presque cercle sur les fragments des bras de la Seine, y faisait le tour des compétences et désirs de chacun et tentait de se trouver un nom. "Hack le vieux" (puisque nous sommes à deux pas de la place du Vieux Marché) et "Janedack" furent évoqués. La préférence d'Echelle Inconnue va naturellement au deuxième tant il est vrai que les femmes sont sous représentées dans ce type de rencontre et qu'il est tout à fait indécent de laisser la figure de Jeanne D'Arc aux réactionnaires. Enfin nous verrons...
Un petit objet a aussi été laissé en pension jusqu'au prochain rendez-vous : une Pirate Box!
Ouverte à tous les "bidouilleurs" de soft ou de hardware, aux électroniciens comme aux informaticiens, la prochaine rencontre aura lieu à Echelle Inconnue 18 rue Ste Croix des Pelletiers à Rouen lundi prochain à 18h30.
Parce qu'il en va de la technologie comme de la politique : "si on ne s'occupe pas d'elle, c'est elle qui s'occupe de nous".
Pour tous ceux à qui le terme de Hackerspace pose des questions, une petite dissection sémantique est lisible iciPROCHAINS RDV A ROUEN :
COLLOQUE Ã la Chambre de commerce et d'Industrie de Rouen
Jeudi 25 et Vendredi 26 octobre 2012
Colloque Art et Espace public, le choix d'une ville Organisé par la ville de Rouen Intervention de Stany Cambot dans l'atelier 3 : L'art, l'individu, le collectif.
CONFERENCES au 18 rue Sainte Croix des Pelletiers / ROUEN :
Jeudi 15 novembre 2012
L'impérialisme en bas de chez nous, Foire aux outils pour l'enquête populaire Par Mathieu RIGOUSTE Militant et chercheur en sciences sociales. Il est l'auteur, entre autre de "l'Ennemi Intérieur". La généalogie coloniale et militaire de l'ordre sécuritaire dans la France contemporaine.
Jeudi 6 décembre 2012
L'Utopie comme arme de poing ou la fable explosant dans le réel Par Stany CAMBOT Architecte, auteur, réalisateur et Co-fondateur d'Echelle Inconnue
Jeudi 31 janvier 2013
Le point de vue du chercheur face au bidonville (titre provisoire) Par Odette LOUISET Professeur des universités en géographie à l'Université de Rouen.
EXPOSITION :
Du 19/10/2012 au 08/12/2012
Vernissage nocturne : jeudi 25 octobre à partir de 18h30
Ecouter chuchoter les blasons de la ville. Intervention numérique dans l'espace public par Echelle Inconnue. Variation sans abri sur un texte de Thomas More. Dans le cadre de la programmation "Rêver Rouen".
PROCHAIN RDV HORS LES MURS :
Vendredi 27 octobre 2012 Séminaire d’ouverture du festival Malaupixel (PARIS) / 14h00 / à la Gaité Lyrique : Rencontre avec artistes et universitaires autour de la vidéosurveillance, des réseaux internet et des télécommunications.
Intervention de Stany Cambot / conférence : Un nouveau calque plane sur la ville : numérique
INTERNET
Echelle Inconnue est sur twitter : @EchelleInconnue
Du nouveau sur les sites :
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