Depuis le mois de janvier, avec les enfants du Clos Gauthier, c‘était des fragments de réalité qui entraient ici : photographies, textes, dessins... Pendant quelques heures, les portes se refermaient et avec eux nous essayions de réarticuler ces éclats, tentant de faire s’entrechoquer mots et images. De ce travail sont nés des portraits possibles, patiemment élaborées d’un même objet : le quartier de l’Argonne.